Pivot d'honneur

Jacques COURTOIS

" Ancien élève de Garrido aux Beaux Arts de Caen, médaille d’or des Instituts Supérieurs de Peinture de Bruxelles, Président-adjoint et commissaire des Artistes Français, de 2000 à 2010, Sociétaire de la Fondation Taylor.  

Jacques COURTOIS peint ce qu'il voit, ce qu'il aime, ce qui touche sa sensibilité, toujours à la recherche de nouvelles sensations... C'est dans les pastels, dans la profondeur, que Jacques Courtois détaille les moments éphémères, les lumières particulières, les mouvements précis, dont il fait ressortir l'essentiel. Il aime peindre la poétique et mystérieuse atmosphère de Venise, des ponts, des canaux, des palais, dans des tons chauds et des ocres, l'atmosphère des marchés de l’île de la Réunion et de l'île Maurice, la beauté et l'élégance naturelle des femmes indiennes dans de brillants saris l'inspirent particulièrement. Il peint aussi des sites de Paris et de Bretagne, dans lesquels la vie est toujours présente, la mer des petits ports de pêche mais aussi les bateaux rapides qui éclaboussent le regard. Sa peinture est colorée, vivante, solide...   
Nombreuses récompenses, médaille d’or des Artistes français, Prix Rosa Bonheur, Paul Helleu, Taiyo Bijutsu (Japon), Prix de l’Assemblée nationale…  
Invité d’Honneur de nombreux Salons. 
J. COURTOIS - Manhattan à la Défense
J. COURTOIS - Place du dôme à la Défense
J. COURTOIS, Toits de Paris
 

Jean-Claude HIOLLE

"Paris est une architecture où se fondent couleurs et lumières.Ainsi, très sensible au graphisme, les toits de Paris, aux gris bleutés et blancs éclatants, ont succédé aux Pont Marie et Pont Neuf dont les vieilles pierres évoquent le passé de la Capitale.La Tour Eiffel retient toute mon attention et me dévoile des perspectives et angles témoins de ma vision où mon émotion est toujours perceptible.En toute sincérité et spontanéité, je pratique une écriture figurative qui ne ressemble à aucune autre, résultant d'une observation intense et personnelle.Mes recherches se poursuivent en une synthèse cohérente et lumineuse créant mon métier où j'essaie d'évoluer sans cesse." (J-C Hiolle)

JC HIOLLE - Paris, La tour Eiffel
JC HIOLLE - Paris, Le pont neuf
JC HIOLLE - Paris, Les toits



Hervé LOILIER

Peintre français né à Paris en 1948. Ancien élève de la promotion 1967, il a enseigné les Arts à l’Ecole Polytechnique de 1973 à 2012.

Président du salon Violet de 1994 à 1997, il est président d'honneur de ce même salon depuis 1998. Il est sociétaire du Salon d'Automne, membre associé de la SNBA, chef de groupe au salon Comparaisons.

Incontesté dans le monde de l’Art, Hervé Loilier poursuit sa quête artistique dans un univers tout autant personnel que spectaculaire. Travaillant ses toiles avec une matière généreuse, sa volonté de retenir l’émotion de ses sujets pousse le peintre à jouer des couleurs avec une certaine virtuosité. Ses personnages souvent féminins, bien réels tant le dessin est parfait, gardent toujours un côté énigmatique, laissant au spectateur le plaisir de rêver.

Savoir faire taire le monde, l’immobiliser, tout en dévoilant sa beauté, foisonnante de couleurs et de matières, c’est avec ce talent qu’Hervé Loilier émerveille et émeut.

A.F.

De nombreux prix et médailles ont récompensé son œuvre. Depuis 1990, il a été invité d’honneur d’une cinquantaine de salons en France.

Articles biographiques dans plusieurs dictionnaires, dont l’édition 1999 du Bénézit. En 2000, une monographie sur l’œuvre peinte de Loilier a été publiée aux éditions du Léopard d’Or, 8, rue du Couédic, 75014 Paris.

En 2008, un nouvel ouvrage, Loilier entre Orient et Occident, a été publié chez ce même éditeur.

En mars 2010, la revue Univers des arts a consacré un numéro hors série à l’œuvre de Loilier.

Officier des Palmes académiques et Chevalier des Arts et es Lettres

Hervé LOILIER - Embrasement du soir
Hervé LOILIER, La Lune se lève sur Pushkar
Hervé LOILIER- La Ville bleue



Célestin MESSAGGIO

En le voyant devant son chevalet, son biographe et ami, Michel de Decker, Historien, Lauréat de l’Académie française) le compare à un chef d’orchestre, quand face à la toile, brosses, couteaux et pinceaux en main, il interprète ses couleurs en symphonie concertante. La gestuelle est vive et sûre, sa toile est comme une partition, il fait jaillir les notes, sa palette est un violon où il dépose ici le bleu, là l’orange, une pointe de rouge, un peu de bistre, et voici autant de touches qui résonnent devant nos yeux, comme celles d’un piano.

L’artiste décrit des histoires, narre chaque sujet en reliefs éclaboussés de lumière peinte, fixe une scène de rue, l’envoûtante Venise, la grouillante mégapole New-Yorkaise, les exotiques scènes africaines, les pierres gavées d’un village méditerranéen, il concentre le motif jusqu’à l’essence du propos, avec toujours la lumière en point d’orgue. (Univers des Arts)

Il est un passeur d’images sur le long fleuve des jours ; il témoigne de la vie, des hommes et de la nature.

Il est présent, en permanence, dans de très nombreuses galeries en France et à l’étranger.
 
C. MESSAGGIO - Lumière d’Enseignes
C. MESSAGGIO - La Saluté en Matinée
C. MESSAGGIO - Petite place à Rouen


VINCENT

Peintre Néo-impressionniste contemporain,

Il est né le 19 juin 1938 dans une famille issue de générations d’artistes peintres ; petit-fils de P.G Rigaud, Peintre post impressionniste, et neveu de J. Rigaud, Peintre Officiel de la Marine, fils du caricaturiste Caza, et frère du dessinateur de bandes dessinées Philip Caza, il ne lui restait que la possibilité de suivre la voie tracée.

Tout d’abord, décorateur de théâtre et élève de J. Rigaud en peinture, il fréquente ensuite les Académies de la Grande Chaumière dans le cours d’Yves Brayer, et de Port Royal, dirigé par Claude Schurr.

C’est le paysage qui l’inspire. De l’Italie à l’Espagne, avec de longs séjours en Provence et tout particulièrement dans le Lubéron, il s’évade parfois sous les ciels changeants de Bretagne et d’Ile de France. Il peint à l’Huile sur toile, sur le motif, et voyage tout au long de l’année à la rencontre des villages dorés de soleil et des calanques secrètes nimbées de transparences turquoises.

Sociétaire du salon d’Automne et du salon des Indépendants.

Présent dans de nombreuses galeries en France et à l’étranger,

Nombreuses expositions internationales, Allemagne, Espagne, USA ... et en France.

VNCENT, Honfleur
VNCENT, Ile de la Cité
VNCENT, Venise


LA RUCHE

La Ruche est une cité d'artistes comptant une soixantaine d'ateliers, située dans le 15e arrondissement de Paris, au numéro 2 du passage de Dantzig, près du parc Georges-Brassens, Jusqu'en 1910, la résidence était reliée à Montparnasse par un tramway tiré par deux chevaux.

La Ruche a été fondée en 1902 par le sculpteur Alfred Boucher à partir d'éléments récupérés après la fermeture de l'exposition universelle de 1900. La structure métallique du pavillon des vins de Bordeaux et la grille d'entrée du pavillon des Femmes, sont de Gustave Eiffel. Les façades et toitures du bâtiment ont été inscrites aux Monuments Historiques.

C’est Boucher lui-même qui est à l’origine du nom Ruche, car il considérait que les artistes bourdonnaient de créativité et s'agitaient dans la cité comme les abeilles, dans un atelier situé à la Ruche d'une immense ruche.

La Ruche est à Montparnasse, ce que le Bateau Lavoir est à Montmartre.

Derrière la grande grille en fer à moitié dissimulée sous le lierre se dresse en plein Paris, cet espace de verdure. C’est l'un des plus importants centres artistiques du XXe siècle, créé pour aider de jeunes artistes sans ressources. Ont été accueilli les plus grands noms de la Peinture, tels que Modigliani, Soutine, Brancusi, Léger, Marie Laurencin, et surtout Chagall, l'un des locataires les plus illustres.

La Ruche n'est plus ouverte au public : seuls les résidents et de rares privilégiés y ont accès.


Pierre MAUNOIR (La Ruche)

Il est né en 1917 à Genève ; il a vécu la majeure partie de sa vie à Paris, dans un atelier situé à la Ruche ; il est décédé dans son atelier en février 2010. Formé à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, et à l’Académie de la Grande Chaumière avec Yves Brayer et Friesz.

Très nombreuses expositions personnelles en France et à l’étranger.

Les œuvres de Pierre Maunoir sont marquées par le réalisme et la précision et une volonté architecturale évidente. Il aime peindre les façades et les monuments de Paris, Berlin et d’autres grandes villes ; on note parfois, un gigantisme évocateur.

P. MAUNOIR- Rue de Crondstadt n°1 été
P. MAUNOIR-Montréal, rue Crescent
P. MAUNOIR- L'hiver à la Ruche


 Georges VISCONTI (La Ruche) 

Georges Visconti est né le 24 novembre 1919 de père suisse et de mère française.

Bien qu’ayant toujours peint, il est plus connu, à une certaine époque, comme comédien ; il a en effet joué avec Roger Blein « Dehors devant la porte » de Wolfgang Borchert, et le Vieux de la sonate des spectres de Strindberg. Cependant, Il ne poursuivra pas dans cette voie, et sera obligé de travailler en usine, ce qui ne l’empêchera pas d’entrer dans la classe de Souverbie, professeur aux Beaux-Arts de Paris ;

Le théâtre a été sa vie ; à une certaine époque, il écrit en effet des pièces de théâtre, interprétées par des acteurs comme Philippe Noiret et Henri Virlojeux.  

C’est Yves Brayer qui le fera rentrer au salon d’Automne. Il devient Sociétaire de la Société des Peintres indépendants et participe à de nombreux Salons dans le monde entier.

Présent à la galerie Bénézit, Boulevard Hausmann, il fréquente Marquet, Picasso, Dunoyer de Ségonzac, Rouault.

Plus jeune pensionnaire de la Ruche, son atelier est voisin de celui de Soutine.

Pour lui rendre hommage, nous avons choisi trois toiles approchant le thème :

G. VISCONTI - Les toits blancs
G. VISCONTI - Sept heures du soir
G. VISCONTI - La grande porte

 

 


 

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