36 ème Salon "Les Amis des Arts de Chaville"

Le 36e Salon de l’Association « les Amis des Arts de Chaville » a eu lieu du mercredi 27 novembre au dimanche 8 décembre 2013 à l'Atrium de Chaville, espace Louvois.

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La ville de Chaville se dotant d’un Centre-ville, nous avons pensé intéressant, cette année, de donner à l’exposition le thème « la Ville et les paysages urbains ».

 Ce salon est réservé aux artistes professionnels ou amateurs confirmés.

Comme les précédentes éditions, il revêtira un caractère prestigieux, en accueillant en tant qu’Invités d'honneur, Michel Jouenne, Peintre Officiel de la Marine, et Jean-Alexandre Delattre, Sculpteur. Ils seront, entourés d’un Pivot d’Honneur, constitué de Jacques Courtois, Jean-Claude Hiolle, Hervé Loilier, Célestin Messaggio, Vincent, et de deux artistes de la « Ruche », Pierre Maunoir et Georges Visconti.

Le dossier de participation du salon: ici

 


Catalogue

Ici

Vernissage

VERNISSAGE du 36e Salon des Amis des Arts de Chaville

(photos ci-dessous)

Plus de 600 personnes, ce mercredi 27 novembre 2013, se sont pressées au vernissage du 36e Salon des Amis des Arts de Chaville ; il est vrai que l'affiche était alléchante, car étaient reçus ce soir là, à l'Atrium de Chaville, les plus grands noms de la Peinture contemporaine française, et de la Sculpture française, sur le thème « Ville et paysages urbains ».

Michel Jouenne, nous faisait, pour notre plus grand plaisir, l'honneur des cimaises chavilloises, en exposant 36 œuvres, toutes de grand format, prenant son inspiration dans des villes, telles, New-York, Hong-Kong, Séoul, mais aussi, plus simplement, les tours de la Défense . Le sculpteur, Jean-Alexandre Delattre, nous ravissait avec 30 sculptures, véritables Poésies métalliques, pleines de tendresse et d'humour.

Le Pivot d'honneur était constitué de Jacques Courtois, Jean-Claude Hiolle, Hervé Loilier, Célestin Messaggio, Vincent, Pierre Maunoir (+), et Georges Visconti, tous deux de la Ruche.

Pour enrichir cette Pléiade d'artistes prestigieux, des artistes de talent, Peintres et Sculpteurs, professionnels ou non, étaient également au rendez-vous.

Après l'allocution du Député-maire de Chaville, Jean-Jacques Guillet, c'était au tour de la Présidente
de présenter ses invités prestigieux. (le discours ici)

Un moment d'émotion, avec un hommage rendu à deux artistes disparus ce printemps, Jacques Castell et Danièle Fuchs.

Puis, était venu le moment tant attendu de la remise des Prix :

- Prix Josette Bossez : attribué à Lucie Gay, pour l'ensemble de ses œuvres, remis par Nicolle Pailler, Présidente de l'Association « les Amis des Arts de Chaville » ;

- Prix Georges Bossez : à Marc Till, pour son œuvre « la Belle émerveillée » en Pierre bleue belge, remis par Nicolle Pailler ;

- Prix de la Ville de Chaville, à Jean-Claude Hiolle, pour son œuvre « Paris,les toits », remis par  Jean-Jacques Guillet, Député-maire ;

- Prix du Conseil Général, à Bruno Atamian, pour son œuvre « un parapluie pour deux », remis par  Christiane Barody-Weiss, Conseillère Générale ;

- Prix de l'Atrium, à Bernard Hénon, pour « le métro à Londres », remis par Hervé Meudic, Directeur de l'Atrium de Chaville ;

- Prix du Rotary-Club de Chaville, à Sylvie Mantovani, pour son œuvre « dans les villes de grande solitude », remis par Pierre Lévi-Topal, Vice-président du Rotary-Club de Chaville ;

- Prix de la Galerie Artitude, à Françoise Selezneff, pour son œuvre « Hier et aujourd'hui à Singapour », remis par Jean-Pierre Lorriaux, Directeur de la Galerie Artitude du Village Suisse.

Un cocktail, préparé par les commerçants du quartier de Marivel, sous la houlette bienveillante d'Isabelle d'Aymé entreprise, a clôturé, dans la bonne humeur ce vernissage.


 

 Les photos:

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Invités d'Honneur

Michel JOUENNE et les Paysages urbains

«  Pour moi vivre c’est peindre,

    Mais aussi peindre c’est vivre.

    Deux actions qui se conjuguent sans équivoque

    Seulement au présent. »

Il est né le 25 janvier 1933 à Boulogne-sur-Seine d'un père ingénieur et d'une mère décoratrice à la manufacture de Sèvres.Etudes au lycée Claude-Bernard, où il débute ses premières gouaches. Première manifestation artistique au Salon de Versailles où il expose trois aquarelles dont une sera primée. Il passe le concours du professorat de dessin de la ville de Paris, en 1958.

Puis, il part pour le service militaire, en Kabylie, pendant deux ans ; c’est là qu’il peindra de nombreuses pochades. Et, c’est en Espagne, qu’il retrouvera les tons chauds des paysages algériens qu’il exposera à New-York, puis, régulièrement chaque année dans les grands Salons parisiens.

En 1991, il est nommé peintre officiel de la Marine. Il embarque alors sur différents bateaux de la Marine nationale. A l'occasion de "Brest 92", il séjourne sur l'aviso Jean Moulin, et en 1994, à l'occasion de l'Armada de la liberté, à Rouen il embarque sur le porte-hélicoptère la Jeanne d’Arc.

En 2002 : Ouverture du Musée Jouenne à Saint Rémy-de-Provence.

Il partage son temps entre Meudon et Eygalières, en pleine garrigue, au pied des Alpilles.

Distinctions :   - Médaille d'or des Artistes Français,

                      - Chevalier du Mérite Culturel et Artistique.

                      - Chevalier de la Légion d’Honneur,

                      - Grande médaille de vermeil-Art Sciences et Lettres.

                      - Grande médaille de vermeil de la ville de Paris.

C’est en voyageant dans des villes comme New-York, Hong Kong, Séoul, et en constatant que beaucoup de buildings étaient construits en verre et métal, constituant de véritables miroirs où se reflètent les autres bâtiments, ainsi que la vie, avec les voitures, les passants, les marchés…que l’inspiration des paysages urbains lui est venue.

Ce n’est pas la représentation exacte d’un bâtiment qu’il cherche à traduire, mais plutôt une sorte de création géométrique, exprimée avec une gestuelle différente de celle avec laquelle il peint la campagne provençale. Il est une sorte de grand reporter, qui ne copie pas la réalité entrevue, mais la traduit avec sa sensibilité.

Surtout connu par les couleurs chaudes de la Provence, son travail ici est plus fait autour des valeurs qu’autour des couleurs ; l’atmosphère quotidienne est peut-être plus froide mais la lumière inonde le tout, enflamme le sujet. Grâce aux valeurs, il travaille la profondeur et le relief, la perspective et joue avec les transparences en plaçant quelques suggestions abstraites.

Tous les immeubles l’attirent, à condition qu’ils aient une majesté, un mystère qui lui donnent la possibilité de les représenter comme des personnages, avec leur personnalité et leur charme particuliers. Ce qui le passionne, c’est la transparence des bâtiments, les immeubles en verre se reflètent les uns sur les autres, créant ainsi de nouvelles images qui s’imbriquent, se superposent, s’unifient, mais sont toujours différentes et puis, il y a l’indiscrétion qu’il éprouve de voir à l’intérieur ceux qui y travaillent. (Univers des Arts)

Jean-Alexandre DELATTRE

 Il est né à Pont-du-Château (Puy-de-Dôme). Il vit et travaille depuis 1994 à « La Champagne », un lieu dit du village de Marchainville, dans la Manche, car c’est un enfant de la terre qui a choisi la forêt du Perche pour se ressourcer. Et c’est chez lui, au milieu des champs et non loin de la forêt, qu’il a installé son atelier de sculpteur sur métaux. Mais quand il travaille, c’est une religion : il sait exactement à quoi il veut arriver. Et il y arrive, en nous fournissant le rêve et la douceur à partir de l’énergie du métal. Il nous rappelle aussi que l’humilité est une des premières vertus et sait apporter un clin d’œil plein d’humour à ses créatures.

 

L’artiste de renommée internationale puise dans le métal son inspiration. Il manie comme personne le chalumeau et le fer à souder pour faire naître ses personnages. Sa technique est unique et le génie du créateur fait le reste. De la ferraille, qui a toujours été sa compagne, il tire, par sa sensibilité à fleur de peau, par sa générosité et son talent, des scènes de vie, à la fois réalistes et chargées de rêves et de symboles : il offre la vie à une matière réputée inerte.

Ses créations interpellent d’emblée ceux qui les découvrent par leurs lignes à nulle autre pareilles elles ont été caressées par les flammes pour être délicatement façonnées par le marteau. Ce sont de véritables « Poésies métalliques ».

Très nombreuses expositions, en France et à l’étranger.

 

Distinctions

   - Primé dans de nombreuses villes de France

   - Médaille d'Or du Conseil général de l'Orne,

   - Primé dans de nombreuses villes de RFA,

   - Médaille de vermeil Art-Sciences-Lettres 2002,

   - Premier prix de sculptures soudées

   - ESSA, SIS (Musée des Arts et Métiers, Paris,

J-A DELATTRE, J'attends Madeleine
J-A DELATTRE, L'écrivain
J-A DELATTRE, Le saxophoniste
J-A DELATTRE, Les colporteurs
Le violoniste

Pivot d'honneur

Jacques COURTOIS

" Ancien élève de Garrido aux Beaux Arts de Caen, médaille d’or des Instituts Supérieurs de Peinture de Bruxelles, Président-adjoint et commissaire des Artistes Français, de 2000 à 2010, Sociétaire de la Fondation Taylor.  

Jacques COURTOIS peint ce qu'il voit, ce qu'il aime, ce qui touche sa sensibilité, toujours à la recherche de nouvelles sensations... C'est dans les pastels, dans la profondeur, que Jacques Courtois détaille les moments éphémères, les lumières particulières, les mouvements précis, dont il fait ressortir l'essentiel. Il aime peindre la poétique et mystérieuse atmosphère de Venise, des ponts, des canaux, des palais, dans des tons chauds et des ocres, l'atmosphère des marchés de l’île de la Réunion et de l'île Maurice, la beauté et l'élégance naturelle des femmes indiennes dans de brillants saris l'inspirent particulièrement. Il peint aussi des sites de Paris et de Bretagne, dans lesquels la vie est toujours présente, la mer des petits ports de pêche mais aussi les bateaux rapides qui éclaboussent le regard. Sa peinture est colorée, vivante, solide...   
Nombreuses récompenses, médaille d’or des Artistes français, Prix Rosa Bonheur, Paul Helleu, Taiyo Bijutsu (Japon), Prix de l’Assemblée nationale…  
Invité d’Honneur de nombreux Salons. 
J. COURTOIS - Manhattan à la Défense
J. COURTOIS - Place du dôme à la Défense
J. COURTOIS, Toits de Paris
 

Jean-Claude HIOLLE

"Paris est une architecture où se fondent couleurs et lumières.Ainsi, très sensible au graphisme, les toits de Paris, aux gris bleutés et blancs éclatants, ont succédé aux Pont Marie et Pont Neuf dont les vieilles pierres évoquent le passé de la Capitale.La Tour Eiffel retient toute mon attention et me dévoile des perspectives et angles témoins de ma vision où mon émotion est toujours perceptible.En toute sincérité et spontanéité, je pratique une écriture figurative qui ne ressemble à aucune autre, résultant d'une observation intense et personnelle.Mes recherches se poursuivent en une synthèse cohérente et lumineuse créant mon métier où j'essaie d'évoluer sans cesse." (J-C Hiolle)

JC HIOLLE - Paris, La tour Eiffel
JC HIOLLE - Paris, Le pont neuf
JC HIOLLE - Paris, Les toits



Hervé LOILIER

Peintre français né à Paris en 1948. Ancien élève de la promotion 1967, il a enseigné les Arts à l’Ecole Polytechnique de 1973 à 2012.

Président du salon Violet de 1994 à 1997, il est président d'honneur de ce même salon depuis 1998. Il est sociétaire du Salon d'Automne, membre associé de la SNBA, chef de groupe au salon Comparaisons.

Incontesté dans le monde de l’Art, Hervé Loilier poursuit sa quête artistique dans un univers tout autant personnel que spectaculaire. Travaillant ses toiles avec une matière généreuse, sa volonté de retenir l’émotion de ses sujets pousse le peintre à jouer des couleurs avec une certaine virtuosité. Ses personnages souvent féminins, bien réels tant le dessin est parfait, gardent toujours un côté énigmatique, laissant au spectateur le plaisir de rêver.

Savoir faire taire le monde, l’immobiliser, tout en dévoilant sa beauté, foisonnante de couleurs et de matières, c’est avec ce talent qu’Hervé Loilier émerveille et émeut.

A.F.

De nombreux prix et médailles ont récompensé son œuvre. Depuis 1990, il a été invité d’honneur d’une cinquantaine de salons en France.

Articles biographiques dans plusieurs dictionnaires, dont l’édition 1999 du Bénézit. En 2000, une monographie sur l’œuvre peinte de Loilier a été publiée aux éditions du Léopard d’Or, 8, rue du Couédic, 75014 Paris.

En 2008, un nouvel ouvrage, Loilier entre Orient et Occident, a été publié chez ce même éditeur.

En mars 2010, la revue Univers des arts a consacré un numéro hors série à l’œuvre de Loilier.

Officier des Palmes académiques et Chevalier des Arts et es Lettres

Hervé LOILIER - Embrasement du soir
Hervé LOILIER, La Lune se lève sur Pushkar
Hervé LOILIER- La Ville bleue



Célestin MESSAGGIO

En le voyant devant son chevalet, son biographe et ami, Michel de Decker, Historien, Lauréat de l’Académie française) le compare à un chef d’orchestre, quand face à la toile, brosses, couteaux et pinceaux en main, il interprète ses couleurs en symphonie concertante. La gestuelle est vive et sûre, sa toile est comme une partition, il fait jaillir les notes, sa palette est un violon où il dépose ici le bleu, là l’orange, une pointe de rouge, un peu de bistre, et voici autant de touches qui résonnent devant nos yeux, comme celles d’un piano.

L’artiste décrit des histoires, narre chaque sujet en reliefs éclaboussés de lumière peinte, fixe une scène de rue, l’envoûtante Venise, la grouillante mégapole New-Yorkaise, les exotiques scènes africaines, les pierres gavées d’un village méditerranéen, il concentre le motif jusqu’à l’essence du propos, avec toujours la lumière en point d’orgue. (Univers des Arts)

Il est un passeur d’images sur le long fleuve des jours ; il témoigne de la vie, des hommes et de la nature.

Il est présent, en permanence, dans de très nombreuses galeries en France et à l’étranger.
 
C. MESSAGGIO - Lumière d’Enseignes
C. MESSAGGIO - La Saluté en Matinée
C. MESSAGGIO - Petite place à Rouen


VINCENT

Peintre Néo-impressionniste contemporain,

Il est né le 19 juin 1938 dans une famille issue de générations d’artistes peintres ; petit-fils de P.G Rigaud, Peintre post impressionniste, et neveu de J. Rigaud, Peintre Officiel de la Marine, fils du caricaturiste Caza, et frère du dessinateur de bandes dessinées Philip Caza, il ne lui restait que la possibilité de suivre la voie tracée.

Tout d’abord, décorateur de théâtre et élève de J. Rigaud en peinture, il fréquente ensuite les Académies de la Grande Chaumière dans le cours d’Yves Brayer, et de Port Royal, dirigé par Claude Schurr.

C’est le paysage qui l’inspire. De l’Italie à l’Espagne, avec de longs séjours en Provence et tout particulièrement dans le Lubéron, il s’évade parfois sous les ciels changeants de Bretagne et d’Ile de France. Il peint à l’Huile sur toile, sur le motif, et voyage tout au long de l’année à la rencontre des villages dorés de soleil et des calanques secrètes nimbées de transparences turquoises.

Sociétaire du salon d’Automne et du salon des Indépendants.

Présent dans de nombreuses galeries en France et à l’étranger,

Nombreuses expositions internationales, Allemagne, Espagne, USA ... et en France.

VNCENT, Honfleur
VNCENT, Ile de la Cité
VNCENT, Venise


LA RUCHE

La Ruche est une cité d'artistes comptant une soixantaine d'ateliers, située dans le 15e arrondissement de Paris, au numéro 2 du passage de Dantzig, près du parc Georges-Brassens, Jusqu'en 1910, la résidence était reliée à Montparnasse par un tramway tiré par deux chevaux.

La Ruche a été fondée en 1902 par le sculpteur Alfred Boucher à partir d'éléments récupérés après la fermeture de l'exposition universelle de 1900. La structure métallique du pavillon des vins de Bordeaux et la grille d'entrée du pavillon des Femmes, sont de Gustave Eiffel. Les façades et toitures du bâtiment ont été inscrites aux Monuments Historiques.

C’est Boucher lui-même qui est à l’origine du nom Ruche, car il considérait que les artistes bourdonnaient de créativité et s'agitaient dans la cité comme les abeilles, dans un atelier situé à la Ruche d'une immense ruche.

La Ruche est à Montparnasse, ce que le Bateau Lavoir est à Montmartre.

Derrière la grande grille en fer à moitié dissimulée sous le lierre se dresse en plein Paris, cet espace de verdure. C’est l'un des plus importants centres artistiques du XXe siècle, créé pour aider de jeunes artistes sans ressources. Ont été accueilli les plus grands noms de la Peinture, tels que Modigliani, Soutine, Brancusi, Léger, Marie Laurencin, et surtout Chagall, l'un des locataires les plus illustres.

La Ruche n'est plus ouverte au public : seuls les résidents et de rares privilégiés y ont accès.


Pierre MAUNOIR (La Ruche)

Il est né en 1917 à Genève ; il a vécu la majeure partie de sa vie à Paris, dans un atelier situé à la Ruche ; il est décédé dans son atelier en février 2010. Formé à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, et à l’Académie de la Grande Chaumière avec Yves Brayer et Friesz.

Très nombreuses expositions personnelles en France et à l’étranger.

Les œuvres de Pierre Maunoir sont marquées par le réalisme et la précision et une volonté architecturale évidente. Il aime peindre les façades et les monuments de Paris, Berlin et d’autres grandes villes ; on note parfois, un gigantisme évocateur.

P. MAUNOIR- Rue de Crondstadt n°1 été
P. MAUNOIR-Montréal, rue Crescent
P. MAUNOIR- L'hiver à la Ruche


 Georges VISCONTI (La Ruche) 

Georges Visconti est né le 24 novembre 1919 de père suisse et de mère française.

Bien qu’ayant toujours peint, il est plus connu, à une certaine époque, comme comédien ; il a en effet joué avec Roger Blein « Dehors devant la porte » de Wolfgang Borchert, et le Vieux de la sonate des spectres de Strindberg. Cependant, Il ne poursuivra pas dans cette voie, et sera obligé de travailler en usine, ce qui ne l’empêchera pas d’entrer dans la classe de Souverbie, professeur aux Beaux-Arts de Paris ;

Le théâtre a été sa vie ; à une certaine époque, il écrit en effet des pièces de théâtre, interprétées par des acteurs comme Philippe Noiret et Henri Virlojeux.  

C’est Yves Brayer qui le fera rentrer au salon d’Automne. Il devient Sociétaire de la Société des Peintres indépendants et participe à de nombreux Salons dans le monde entier.

Présent à la galerie Bénézit, Boulevard Hausmann, il fréquente Marquet, Picasso, Dunoyer de Ségonzac, Rouault.

Plus jeune pensionnaire de la Ruche, son atelier est voisin de celui de Soutine.

Pour lui rendre hommage, nous avons choisi trois toiles approchant le thème :

G. VISCONTI - Les toits blancs
G. VISCONTI - Sept heures du soir
G. VISCONTI - La grande porte

 

 


 

Autres artistes

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